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Typhon Goni : HI vient en aide aux populations affectées

Urgence
Philippines

Les équipes de l'association aux Philippines distribuent des kits d’abris temporaires, sanitaires et d'hygiène aux populations, et leur apportent également une aide financière.

Handicap International intervient auprès des victimes du typhon Goni aux Philippines

© HI

Vents violents, pluies diluviennes, glissements de terrain, le typhon Goni (appelé aussi Rolly), le plus puissant des typhons de 2020 aux Philippines, a frappé le pays le 1er novembre dernier avec des vents allant jusqu’à 225 km/heure. Près de 1,9 million de personnes ont été affectées dans 8 des 17 régions du pays (Cagayan Valley, Central Luzon, Calabarzon, Mimaropa, Bicol, Eastern Visayas, Car et NCR). Plus de 30 000 maisons ont été endommagées, les dégâts sont considérables

En collaboration avec Shelter Box et Simon of Cyrene, Handicap International a lancé une intervention d’urgence afin de venir en aide aux victimes de la catastrophe. L’association distribue des kits d'abris temporaires (comprenant des bâches, de la corde, une lampe solaire, etc.), des kits d’hygiène (savons, moustiquaires, etc.) et kits sanitaires (serviettes hygiéniques, couches bébé) à plus de 5 000 familles vivant dans les zones de Catanduanes et Camarines Sur. Handicap International va également apporter un petit soutien financier à 500 familles affectées par la catastrophe.

"Je n'ai plus rien à manger"

Les besoins sont immenses, comme en témoigne Myrna Teope, 58 ans, qui vit dans la municipalité de San Miguel (Catanduanes) :

« Le typhon a endommagé notre maison et détruit nos productions agricoles (patates douces, arachides). Je n’ai plus rien à manger, ni à vendre, et je m’inquiète beaucoup pour mes petits-enfants, qui vivent chez moi. Le pont qui reliait notre village au centre-ville a été détruit. Pour s’y rendre, nous devons monter sur un petit radeau et traverser la rivière. Nous attendons de recevoir de la nourriture, nous faisons la queue au bord de la rivière pour être sûrs de ne pas être oubliés. Nous n’avons pas mangé à notre faim depuis que le typhon a frappé. Je suis en colère contre cette violente tempête. Nous avons besoin d’aide. »

Publié le : 19 novembre 2020
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