Aller au contenu principal
 
 

Esra, kinésithérapeute : "Un changement positif pour l'enfant et sa famille"

Réadaptation
Jordanie

Esra est kinésithérapeute au centre de rééducation de l’hôpital de la Princesse Basma, à Irbid en Jordanie. En collaboration avec Handicap International, un département pédiatrique spécialisé dans la prise en charge des maladies neurologiques a été créé.

Esra, kinésithérapeute de Handicap International au centre de rééducation de l’hôpital Basma en Jordanie

© Oriane van den Broeck / HI

Un nouveau département pédiatrique

Cela fait deux ans qu’Esra travaille au centre de rééducation de l’hôpital de la Princesse Basma, à Irbid en Jordanie. Depuis l'ouverture du département pédiatrique, elle se consacre au traitement des enfants souffrant de troubles neurologiques.

« Auparavant, nous travaillions avec les enfants et les adultes réunis dans la même salle d’exercice. Il était difficile de se concentrer sur l’enfant car il y avait d'autres patients et kinésithérapeutes. Ici, nous pouvons jouer avec eux. Ils s’exercent à travers le jeu et ne se rendent même pas compte que ça fait partie du traitement. »

Un meilleur accès à l’information

Une bibliothèque comprenant des ouvrages spécialisés et quelques ordinateurs a également été installée au sein du centre : « Le livre que je lis en ce moment concerne la paralysie cérébrale. Si les parents nous posent une question, nous pouvons faire des recherches sur internet, dans ces ouvrages ou nous renseigner auprès d’un spécialiste afin de les informer », explique Esra.

84 enfants atteints de paralysie cérébrale

Le département accueille aujourd'hui 84 enfants atteints de troubles neurologiques, en moyenne 5 à 6 par jour. Le nombre a considérablement augmenté depuis que cet espace a été créé. La majorité des enfants se sentent mieux et certains arrivent aujourd’hui à marcher.

Les équipes impliquent les membres de la famille dans le traitement du jeune patient. Ils apprennent les gestes simples de réadaptation qu’ils doivent répéter à la maison.

Handicap International a formé les ergothérapeutes, les kinésithérapeutes, etc. afin d’améliorer la qualité des services dispensés : « J'ai suivi une formation sur le traitement de la paralysie cérébrale. J’utilise quotidiennement cette méthode pour traiter les enfants et cela m’est très utile », conclut Esra.

Publié le : 7 janvier 2019
Nos actions
pays
par pays

Icône casque microUne question ? Une remarque ? Nous sommes à votre écoute !

Relation Donateurs
Contactez notre équipe du lundi au vendredi de 9h à 18h au 04 78 69 67 00 ou à
[email protected]
Au plaisir d’échanger !
Voir aussi la FAQ

Équipe Mobilisation
Vous souhaitez devenir bénévole ou partager des idées d’actions solidaires ? 
>
Rendez-vous sur l’espace dédié

Relations Presse
Journalistes, médias : notre attachée de presse Clara Amati est joignable au 06 98 65 63 94 ou par mail
[email protected] 
Voir l'espace Presse

 

Collectes frauduleuses

Des escroqueries à la charité peuvent être commises en notre nom dans l'espace public, par téléphone ou par e-mail. Consultez notre page dédiée pour toute information ou contactez-nous directement au 04 78 69 67 00 ou par e-mail : [email protected]

Aidez-les
concrètement

Pour aller plus loin

Malak, 9 ans, marche à nouveau grâce à une prothèse
© K. Nateel / HI
Réadaptation Urgence

Malak, 9 ans, marche à nouveau grâce à une prothèse

Malak a été grièvement blessée et a dû être amputée au-dessus du genou il y a quelques mois. Aujourd'hui elle peut marcher à nouveau avec l'aide de Handicap International.

Mehari, un modèle de résilience pour les victimes d’armes explosives
© H. Bale / HI
Inclusion Mines et autres armes Réadaptation

Mehari, un modèle de résilience pour les victimes d’armes explosives

Blessé par une fusée de mortier, héritage de la Guerre du Tigré (2020-2022), Mehari est aujourd’hui engagé sur la voie de la reconstruction et développe son activité professionnelle.

Le nouvel espoir de Nanay qui marche à nouveau
© M. C. Liberato / HI
Réadaptation Urgence

Le nouvel espoir de Nanay qui marche à nouveau

À 70 ans, Nanay Benita, n’a qu’une crainte : ne pas pouvoir fuir en cas de catastrophe climatique. Grâce à la canne distribuée par Handicap International, elle se sent soulagée.